|
plan d'accès | ami.e.s | |||||
|
|||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
Tous les jeudis de 18h à 19h Distribution AMAP Tableau des distributions |
|||
|
![]() |
Mercredi 23 novembre 19h Usine de la Redonne Ciné-soupe et débat autour du film Pour quelques bananes de plus, le scandale du chlordécone Aux Antilles, tout le monde le connaît. 9 personnes sur 10 l’ont dans le sang. C’est un perturbateur endocrinien qui fait de la Martinique la championne du monde des cancers de la prostate. A cause de lui, le nombre de prématurés ne cesse d’augmenter. Il a contaminé un tiers des terres agricoles, les tubercules, la viande, les œufs ; il a pollué les sources et les rivières, touché les poissons et les fruits de mer. Inventé en Amérique, on a perdu sa trace en Europe et personne ne semble pressé de la retrouver. C’est un pesticide toxique et persistant dont on ne se débarrassera pas avant plusieurs siècles. Pour quelques bananes de plus, il a tout contaminé... jusqu’à la politique.
|
|
|
![]() |
Vendredi 25 novembre
20h En partenariat avec la librairie Caractères libres d'Aups Venez rencontrer Olivier Milleron pour son ouvrage « Pourquoi fumer, c’est de droite ». Olivier Milleron est cardiologue à l’hôpital Bichat, à Paris. Il dévoile l’intrication de l’histoire du tabac avec celle du capitalisme et du colonialisme. Car l’industrie du tabac participe au pire du capitalisme mondialisé, échappant au contrôle des états et des citoyens. Pour l’auteur, se réclamer de la gauche anti-capitaliste et fumer relève de la contradiction politique. Cet ouvrage pamphlétaire ouvre le débat. Radiographie d’une industrie cynique et destructrice. Pourquoi le mouvement social qui dénonce les multinationales, la malbouffe et les industries polluantes ne s’attaque-t-il pas à l’industrie du tabac ? Pourquoi le blackbloc prend-il pour
cible des banques ou des fast-foodsmais pas les bureaux de tabac ?
Pourquoi beaucoup de militants anticapitalistes et écologistes
continuent à fumer ? Dans cet essai, à la fois drôle et sidérant, Olivier Milleron s’attache à dénoncer l’industrie du tabac non pas d’un point de vue sanitaire mais politique. Le cardiologue s’étonne de voir que, dans les collectifs de gauche et syndicats qu’il fréquente, la question du tabac en tant qu’acteur du capitalisme n’est jamais soulevée suite de l'article .Libération
https://www.arte.tv/fr/
|
|
|